La ministre de la fonction publique que je suis n’a eu aucun problème avec ces fonctionnaires, qui ont peu de revendications, par rapport à beaucoup d’autres, et qui font un travail reconnu. Le Premier ministre était avec moi, ainsi que Mme Filippetti, et nous n’avons eu aucun état d’âme – permettez-moi cette expression très républicaine – à reconnaître que, dans le cadre du concordat, nous avions à discuter aussi de personnels qui, pour moi qui viens d’ailleurs, sont plus inattendus, mais qui sont tout à fait respectueux de la République.