Vous avez souligné le déséquilibre entre les investissements français en Russie et les investissements russes en France. Ces derniers demeurent très faibles, surtout si l'on retranche le rachat de GEFCO du bilan. En dehors du problème des mentalités – que vous relevez à juste titre –, quelles mesures concrètes conviendrait-il de prendre pour favoriser les investissements russes en France ?