L'industrie nucléaire française ne peut pas rester isolée sur le plan international. Les États-Unis font du surplace en la matière, malgré leur puissance. L'Allemagne a fait le choix du charbon et du lignite. Le Japon est dans l'impossibilité d'aller de l'avant. De mon point de vue, la Russie est donc le partenaire le plus stable et le plus sérieux pour l'avenir. Le Commissariat à l'énergie atomique et aux énergies alternatives (CEA) a engagé une coopération en matière de recherche avec la Russie. Le dialogue entre les différents acteurs français du secteur nucléaire et leurs homologues russes a-t-il connu des avancées ? Allons-nous coopérer étroitement avec la Russie dans ce domaine ?