Quoi que vous en disiez, nous augmentons les crédits de l'immobilier pénitentiaire aussi bien pour la rénovation globale que pour la préservation du patrimoine ou la construction.
Concernant cette dernière, d'ailleurs, elle augmente de 7,8 %. Lorsque je parle de budget, je parle de budget réel, pas de budget virtuel ! Je ne parle pas d'une loi de programmation qui prévoit 80 000 places, mais qui n'y consacre pas un euro. Lorsque vous parlez de la baisse de 38 % des autorisations d'engagement et de l'augmentation des crédits de paiement, il faut savoir que les crédits de paiement sont réels, tandis que les autorisations d'engagement sont totalement artificielles. (Exclamations sur les bancs du groupe UMP.)