Il a d’abord un ressenti de territoire laissé en déshérence, de territoire de deuxième zone, où l’égalité républicaine devant l’accès au service public n’est plus garantie. Puis des réactions en chaîne se produisent. Après l’État et les services publics, ce sont les opérateurs et les services privés, c’est-à-dire les services au public qui désertent : poste, banque, professions médicales ou paramédicales …
C’est une spirale qu’il faut briser, et peut-être le rapport de Carole Delga et Pierre Morel-A-L’Huissier, autour du triptyque « mesurer, mutualiser, moderniser », donne-t-il effectivement de bonnes pistes.