Il peut s’agir de communes ayant connu un dépeuplement du fait de restructurations de services publics ou de l’évolution de l’appareil économique, de communes situées en zone rurale ou encore de communes périurbaines ayant accueilli récemment une population sous l’effet de l’extension du champ d’influence des grandes agglomérations. Tous les bourgs-centres se définissent néanmoins par leur rôle d’animation du tissu local non urbain environnant, et ils ont une fonction particulière, une fonction de centralité qui entraîne des charges propres.
Nous considérons qu’il convient de s’appuyer sur ce tissu des bourgs-centres – l’INSEE en a repéré 1 200, soit le même nombre que celui des quartiers prioritaires dans la politique de la ville – pour organiser et mettre en réseau nos territoires.