Je dirais même qu’il est moins le moyen du bien-être que celui de s’en rendre digne par ses efforts. Il est, comme le dit Hannah Arendt, « producteur de vie ». Je tenais à insister sur ce point en préambule, certain que je suis de son caractère consensuel. Mais, et tout est dans le « mais », le travail ne va pas sans risque. Les risques physiques, psychiques, sociaux, individuels et collectifs vont des atteintes à la santé à la précarité.