J’inscrirai mon propos dans le prolongement de ce qu’Alain Tourret vient de dire avec beaucoup d’éloquence et de talent, en remerciant Georges Fenech pour son amendement. Comme beaucoup de parlementaires, me semble-t-il, je n’avais pas d’avis préconçu quand je l’ai découvert en commission. Il nous a permis de mener cette réflexion, et je m’honore de participer cet après-midi à la présente discussion, qui renvoie une image nettement plus valorisante pour l’Assemblée nationale que les pitreries auxquelles la représentation nationale se livre parfois lors des questions d’actualité.