Je ne prendrai pas d’engagements pour vous complaire, car c’est la cohérence de notre droit qui compte.
Pour répondre à M. Geoffroy, je lui indique que nous avions commencé à travailler sur ce sujet avant ce fait divers tragique. D’ailleurs, je préfère parler de fait d’actualité car, pour moi, il n’est pas divers : c’est un drame.