Le Président de la République et le ministre de la Défense ont réaffirmé au travers du Livre blanc et de la LPM la position de la France en matière de dissuasion nucléaire. Mais certains collègues souhaitent qu'un débat ait lieu sur ce sujet. Comment appréhendez-vous cette question ?
Par ailleurs, je suis heureux de vous entendre dire combien le point de vue des acteurs des territoires doit être pris en compte, notamment pour l'organisation de nos bases de défense. La capacité de Brest et Lorient par exemple à régler les problèmes de façon pragmatique et discrète montre la pertinence de cette approche.