Monsieur le Premier ministre, dans votre déclaration d’hier, vous avez fait le constat de la souffrance, de la déception, du mécontentement et de la colère de nos concitoyens. Ce constat, nous l’avons tous fait ici depuis longtemps, dans nos circonscriptions respectives. En écoutant les vingt premières minutes de votre déclaration, j’avais l’impression d’entendre Jean-François Copé ou Christian Jacob !