Pour toutes ces raisons, nous nous sommes réjouis en entendant hier le Premier ministre parler d’un assouplissement réglementaire. Malheureusement, immédiatement après, votre entourage a indiqué qu’il n’y aurait ni report, ni retrait, ni libre choix, poursuivant ainsi la grande tradition des couacs gouvernementaux.
J’espère que la nuit a porté conseil et je vous pose une question simple, monsieur le ministre : allez-vous laisser les communes librement choisir d’appliquer cette réforme absurde ?