Monsieur Grellier, votre proposition évoque la contribution sur la valeur ajoutée proposée en 2005-2006. Le risque, par-delà le rééquilibrage entre ces différents secteurs, est de reprendre globalement aux entreprises, par le prélèvement sur la valeur ajoutée donc sur l'excédent brut d'exploitation, ce que l'on cherchait à leur rendre en allégeant les charges sociales. Or l'objectif du transfert de charges n'est-il pas de restaurer les conditions de la profitabilité de l'activité, c'est-à-dire les marges, pour stimuler l'investissement ?