Il y a quarante ans, on n'imaginait pas comment le monde allait être transformé par les technologies informatiques et les sciences du vivant. Qu'en est-il de la poursuite de l'accélération dans ce domaine et de la possibilité pour le législateur et l'Agence de contrôler cette évolution ? Comment l'Agence gère-t-elle les distorsions de concurrence scientifique et technologique créées par l'existence des paradis éthiques lorsqu'elle accorde des autorisations de protocoles de recherche sur l'embryon et les cellules souches embryonnaires? Comment améliorer le dispositif existant pour la greffe ? Peut-on déjà faire un premier bilan de l'application de la nouvelle mission d'information du Parlement sur les neurosciences que vous a confiée la loi de 2011 ?