J'ai écouté hier avec intérêt le Premier ministre dire qu'il fallait respecter l'opposition et essayer de faire avancer, ensemble, un certain nombre de grands projets pour la France. Madame la présidente, alors que votre rôle de présidente de cette commission vous impose un devoir de neutralité, en particulier dans le décompte des voix, vous ne regardez se lever que les mains de la majorité. Vous ne tournez même pas les yeux vers les rangs de l'opposition. Pourquoi continuerions-nous à lever la main puisque vous nous ignorez ?