La réponse de Mme la secrétaire d’État apporte un certain nombre d’éclaircissements, mais un certain flou demeure tout de même : je me demande notamment comment sera interprétée la notion d’urgence, qui va générer les droits au remboursement.
Deuxièmement, je crois qu’il est temps maintenant de communiquer de manière extrêmement précise sur l’ensemble du sujet. Je peux vous assurer que dans nos régions frontalières, cette affaire suscite une émotion très importante, notamment chez les personnes qui suivent des soins récurrents, je pense en particulier aux soins en oncologie dans les hôpitaux genevois ou de la région de Lausanne. Ces patients se trouvent aujourd’hui dans une situation d’incertitude et parfois même ne comprennent pas ce qui se passe.
Une communication précise et extrêmement claire sur cette question serait donc particulièrement bienvenue de la part du Gouvernement.