Mes chers collègues, nous avons appris avec une immense tristesse le décès, à soixante-six ans, de Dominique Baudis.
Journaliste de formation et de métier, maire de Toulouse, député européen, député, président du CSA, président de l’Institut du monde arabe puis Défenseur des droits, c’était un grand serviteur de l’État et de ses compatriotes.
Partout où il est passé, Dominique Baudis a laissé l’image d’un homme de dialogue et d’un véritable humaniste. Un hommage national lui sera rendu cet après-midi à seize heures trente aux Invalides en présence du Président de la République.
En attendant, j’invite l’Assemblée à observer une minute de silence.