Après un passage en force, vous avez mis en place la concertation a posteriori. Ce n’est pas une bonne méthode. Monsieur le Premier ministre, pour nos enfants, l’organisation de l’enseignement est une chose bien trop importante pour être gérée de la sorte.
En outre, cette réforme a de fortes répercussions sur toutes les communes : les grandes villes, les intercommunalités, les villes moyennes, les petites communes, particulièrement les plus rurales. Elle a un impact financier sur les budgets communaux mais aussi un impact humain, puisqu’il faut prévoir les ressources humaines nécessaires, qui sont sous la responsabilité des communes.
Monsieur le Premier ministre, vous devez faire confiance aux maires, aux élus locaux, faire confiance à leur bon sens.