…en dehors de l’appel à des sanctions modestes et parfaitement inefficaces. Le Président de la République lui-même, qui ne s’est rendu ni à Kiev, ni à Moscou, vient d’ailleurs d’expliciter cette passivité française en disant ceci : « Éviter toute action directe ou indirecte susceptible d’alimenter les tensions ».
Au-delà de cette formule, monsieur le Premier ministre, quelle est la politique française à la veille du sommet de Genève ?