Huit cent mille euros, c’est le montant qui permet de maintenir à l’équilibre le service municipal de maintien à domicile pour nos anciens.
L’austérité dictée par la Commission européenne va donc lourdement affecter les services publics locaux, l’investissement public et bien sûr l’emploi local, surtout dans les territoires fragiles.
Monsieur le Premier ministre, pour créer les conditions du développement économique et du bien-être social dans nos territoires, pour assurer l’égalité et réussir le vivre ensemble, pour redresser les comptes publics dans la justice, allez-vous enfin mettre à contribution les actifs financiers des grandes entreprises et garantir une péréquation véritable sur le territoire de la République ? Allez-vous enfin vous affranchir des dogmes libéraux de la Commission européenne, qui ne font qu’amplifier la crise ?