L’objectif réaffirmé dans votre discours de politique générale oppose le calcul politique brutal à une écologie de bon sens que nous appelons tous de nos voeux.
Il est brutal pour plus de 40 000 agents et prestataires EDF qui sont menacés par la fermeture d’une vingtaine de réacteurs de 900 mégawatts, mais aussi pour l’ensemble des bassins de vie avoisinants qui verront disparaître une activité industrielle majeure.
Alors pourquoi se priver d’un outil au service de notre compétitivité industrielle grâce à un prix de l’électricité inférieur à celui de nos voisins européens ?
Pourquoi se priver de la construction de nouveaux EPR qui feront de la France, une vitrine mondiale pour la filière nucléaire ?