Mme Guinchard, que vous venez d'auditionner, a dû prononcer devant vous le terme de « co-construction », qui est son obsession. Elle a raison : c'est ensemble que nous devons construire et, pour cela, il faut mettre en place le dispositif nécessaire. Réunir tous les trois mois 35 000 personnes ne servirait pas à grand-chose ; il faut travailler ensemble sur de véritables projets, ce qui suppose d'en chiffrer aussi le coût pour ne pas s'exposer à la déception d'apprendre in fine qu'il n'y a pas l'argent nécessaire pour les mener à bien.