Monsieur le député, le Gouvernement n’accepte pas d’avoir été informé un vendredi que l’un de ses fleurons nationaux, qui vit de la commande publique, totalise 20 milliards de chiffre d’affaires et compte 95 000 salariés, serait vendu le dimanche soir. Aucun gouvernement dans aucun autre État n’accepterait d’être placé devant le fait accompli !