Pour autant, je ne m’en satisfais pas, tout comme vous. Je pense d’ailleurs que personne, ici, à l’Assemblée nationale, sur ces bancs, ne pourrait se satisfaire ne serait-ce que d’un chômeur supplémentaire chaque mois.
Cette stabilisation traduit une évolution. Rappelons une nouvelle fois que, sur le nombre d’1,3 million de chômeurs en plus que notre pays connaît depuis 2008, nous pouvons, pardonnez-moi l’expression, en mettre 750 000 à la charge de M. Fillon et 450 000 à celle de M. Ayrault.