Oui, le péché majeur de votre plan, monsieur le Premier ministre, c’est d’avoir oublié que pour marcher, il faut être en équilibre sur deux jambes. Vouloir réduire les déficits sans prendre dans le même temps des mesures en faveur de la compétitivité, avec des réformes structurelles, c’est un plan voué à l’échec.
Si on veut libérer les Français de ces chaînes, il y a un mot, un mot que vous n’employez jamais, hélas : c’est le mot de « liberté ».