Oui, c’est vrai, des radicaux et, principalement, vous citez Mendès-France. Mais, voyez-vous, vous devriez citer Molière de temps en temps parce que je crains fort que vous n’entriez dans l’Histoire comme le Monsieur Purgon des ordonnances purgatives.
Or ce qui est dramatique, c’est que le malade, aujourd’hui, n’est pas imaginaire. Franchement, ce n’est pas d’une thérapie purgative dont nous avions besoin mais d’une thérapeutique du courage qui sache dire non à Bruxelles et oui à la France, monsieur le Premier ministre, cette France que vous aimez, je ne le discute pas et je ne le discuterai jamais, cette France qui est dans votre sang, dans votre culture, dans votre histoire.
Oui à la France, non à Bruxelles !