ce qu’il y aura en moins en matière de retraites, de fonctionnaires, de pouvoir d’achat, d’éducation et dans bien d’autres domaines.
Tel n’était pas votre rôle, monsieur Carrez, mais votre langue a fourché : un Premier ministre – François Fillon, pour ne pas le nommer – a admis, par le passé, dans un éclair de lucidité, qu’il gouvernait un État en situation de faillite.