Je retiens surtout de ce que vous avez dit, madame la ministre, qu’en dehors du Grand Paris, où les choses sont plus fixées, la réflexion reste encore ouverte. Je veux également appeler votre attention sur l’hétérogénéité que vous avez vous-même soulignée : elle n’existe pas seulement entre territoires urbains et territoires ruraux, mais aussi dans cette fameuse « rurbanité », dans ces zones de relégation tantôt périurbaines, tantôt encore rurales où vivent trop de nos concitoyens. J’insiste sur le fait que le cadre dans lequel s’exerce la démocratie locale soit un cadre identifié par nos concitoyens et pas trop lointain.