Quelle que soit la cordialité de M. le secrétaire d’État, ses propos ne répondent en rien aux problématiques des éleveurs puisque nous sommes en zone de plaine, qu’il faudrait fortifier les champs, ce qui coûterait plusieurs centaines de millions d’euros.
Ce qui va se produire est très simple, monsieur le secrétaire d’État : ces éleveurs vont tout bonnement disparaître et nous n’aurons plus d’élevage ovin en France, même dans les zones de montagne comme les Vosges que vous avez citées. Il est obligé de faire recours à nouveau à des instruments mécaniques et de supprimer les ovins. Où est la défense de l’environnement ?