Monsieur le ministre, je vous remercie de vous être fait aujourd’hui le ministre de la défense des zones de montagne.
Les comparaisons avec la plaine sont toujours aléatoires, car l’entretien des canaux, par des bénévoles, sur six kilomètres de long, ce n’est pas tout à fait la même chose lorsqu’il y a 1 500 mètres de dénivelé que quand on est sur du plat. C’est la raison pour laquelle nous appelons, au nom de l’article 174 du traité de Lisbonne, à une plus grande prise en compte des zones de montagne, mais également des îles, que vous connaissez bien, monsieur le ministre.