Je m'exprimerai au nom de ceux qui entendent trop bien, les hyperacousiques, qui souffrent de la pollution de cette société hypersonore – pour ma part, je souffre beaucoup dans l'hémicycle. Je précise que j'ai assisté aux premières assises des déficiences auditives, le 12 avril, à l'hôtel de région des Pays de Loire, à Nantes, avec l'association Handicap acoustique 44.
Tout d'abord, une réflexion globale est-elle possible sur les normes de l'habitat, parfois incompatibles ou contradictoires entre elles ?
Comment, par ailleurs, pouvons-nous nous mobiliser pour l'adaptation aux évolutions technologiques – je pense en particulier aux boucles magnétiques, qui peuvent poser problème dans les salles publiques ?
Pour ce qui est, enfin, de la prévention auprès des jeunes, qu'en est-il des bornes interactives installées dans les lycées ? Ce système doit-il être développé ?