Il n'y pas eu de simulation, mais un essai sur échantillon. Celui-ci n'a pas permis de conclure que les fissures observées ne progresseraient pas. Sur ces réacteurs belges, il s'agit de défauts parallèles à la paroi, alors que ceux qui ont été détectés sur certains réacteurs en France y sont perpendiculaires et proviennent de la méthode de beurrage. L'acier qui est plaqué sur la cuve doit l'être à une certaine température : si cette opération n'est pas parfaitement réalisée, des défauts peuvent apparaître, comme cela s'est produit sur les cuves du Tricastin et de Fessenheim.