Les provisions actuelles sont calculées sur la base des chiffres actuels ; on ne peut le reprocher aux producteurs mais, si le coût du stockage est revu à la hausse, ils devront bien entendu les réévaluer.
La Cour des comptes a insisté sur un autre élément : la nécessité de s'assurer que ces provisions sont bien constituées d'actifs dédiés sécurisés. La CNE2 a fait de même dans ses rapports : les provisions doivent être adaptées au coût du stockage et constituées d'actifs dédiés, sécurisés sur le très long terme.