Les faits sont têtus : ils se sont trompés. Il se trouve que l'on continue à s'enfermer dans l'erreur en persistant à vouloir faire revenir les déficits publics sous la barre des 3 %. Il s'agit d'une entreprise dangereuse car si cet objectif inatteignable doit être atteint coûte que coûte, ce sera au prix de réajustements brutaux.