Toujours à propos de l'article 4, je tiens à faire remarquer que le rapport de la Chancellerie sur la coparentalité révèle que certains membres et associations qui étaient intervenus dans le groupe de travail souhaitaient que les violences conjugales ne soient pas prises en compte pour décider des modalités d'exercice de l'autorité parentale, en estimant qu'il n'y a pas de raison de prendre les violences conjugales comme fait significatif pour statuer sur les modalités d'exercice de l'autorité parentale ou sur la résidence alternée. La proposition de loi est la traduction juridique de cette volonté.