Je rappelle également qu’organiser des activités périscolaires ne dépend pas forcément, comme vous le dites, monsieur le député, du fait qu’une ville soit riche ou pauvre. Certaines communes modestes ont organisé des activités périscolaires en fonction d’un projet politique et éducatif ambitieux et il y en a de gauche comme de droite. À l’inverse, il est des communes riches, comme vous dites, qui n’ont pas souhaité en organiser, et ce depuis longtemps. Ainsi, le facteur discriminant que vous invoquez entre communes riches et communes pauvres ne joue pas. Quant à l’évaluation de la réforme, nous l’avons commencée, auprès des professeurs,