Pourtant, deux phénomènes constituaient une menace majeure pour la pérennité de notre modèle social : la baisse continue du niveau scolaire, constatée notamment par l’enquête PISA, et la sortie annuelle de 150 000 jeunes du système scolaire sans diplôme ni qualification.
C’est la raison pour laquelle notre majorité, dès 2012, a fait de l’éducation une priorité politique. Quelle différence avec la majorité précédente qui, avec cynisme, avait fait de l’éducation nationale la variable d’ajustement budgétaire de la révision générale des politiques publiques et des plans d’austérité !