Je le dis parce qu’on ne peut nous reprocher de laisser facultative l’organisation du temps périscolaire et nous reprocher en même temps de prendre nos responsabilités.
Je rappelle pourquoi cette réforme a été faite et pourquoi bon nombre d’élus, de droite comme de gauche – je les salue pour le travail qu’ils réalisent –, ont compris que l’intérêt supérieur des enfants était d’adapter les rythmes d’apprentissage aux rythmes biologiques.