Nous ne sommes pas là pour remettre en cause le travail des chambres consulaires, en particulier des chambres d'agriculture, dont la charge de travail a effectivement augmenté à la suite de l'intégration des ADASEA et qui travaillent quotidiennement pour le développement agricole.
De manière cohérente, nous avons demandé à l'ensemble des chambres consulaires, comme à l'État et aux collectivités locales, de faire des efforts, sauf aux chambres d'agriculture, pour lesquelles le taux est maintenu. Je ne vois donc pas pourquoi on augmenterait ce taux et je ne peux être favorable à ces amendements proposés par M. Aubert et M. de Courson.