La jurisprudence admet déjà que de telles images tombent sous le coup de la loi puisqu’un arrêt de la Cour de cassation du 12 septembre 2007 a considéré que devait être incriminée la diffusion de dessins ou d’images d’un mineur imaginaire ayant des relations sexuelles. Cet amendement n’apporte donc rien par rapport à la jurisprudence, et il n’entre pas tout à fait dans l’objet du texte. Avis défavorable.