cette disposition concernera le plus souvent une ou deux personnes – difficilement plus : il s’agira du compagnon ou de la compagne de l’un ou de l’autre parent.
C’est, finalement, une situation assez simple : il peut y avoir deux beaux-parents – le premier vivant avec l’un des parents, le second avec l’autre –, chez lesquels l’enfant passe alternativement une partie de son temps. Il n’est pas besoin de donner à ces deux beaux-parents un statut qui dérive de l’autorité parentale, ou qui soit inspiré de la filiation biologique !