Je ne doute pas, monsieur le ministre, de la bonne volonté qui est la vôtre. Je me réjouis que vous sembliez rompre avec certaines vieilles lunes du Parti socialiste.
Pendant des années, nous avons entendu les députés socialistes, écologistes et communistes protester contre les fichiers de police, critiquer la police d'agglomération, refuser la vidéoprotection, s'opposer au rapprochement entre la police et la gendarmerie, et même parfois demander la suppression de la préfecture de police.