En effet, monsieur Blazy.
On a donc plutôt envie, monsieur le ministre, de croire dans votre projet que sont les zones de sécurité prioritaire. J'ai eu l'occasion de vous dire l'intérêt que nous manifestons à Dreux pour entrer dans ce dispositif. Mais ce faisant, je dois avouer que je fais une sorte de pari pascalien : que les effectifs supplémentaires existent ou qu'ils n'existent pas, j'ai plus à gagner à y croire, qu'à ne pas y croire. (Sourires.) Et s'il n'y en a pas, au moins je n'en perdrai pas.