Je vous remercie, madame la secrétaire d’État, de cet espoir donné au centre hospitalier de Dunkerque. Je connais votre attachement personnel à l’hôpital. De par mes fonctions de médecin, il m’arrive d’aller à l’hôpital régulièrement, et c’est presque comme si je mettais mes pas dans ceux de mon père : il y a urgence, car la structure n’a pas changé depuis mon internat, il y a de cela trente ans…. Je ne risque pas de m’y perdre ! On pourrait presque y tourner un film à la façon des années soixante-dix, avec Alain Delon.