Je vous remercie de cette réponse rassurante, monsieur le ministre. Le terme de mobilisation me paraît bien choisi compte tenu de la situation.
Je suis prête, à l’instar de tous mes collègues parlementaires, à vous aider, en particulier pour analyser d’un peu plus près le chômage des femmes seniors. Nous recevons tous dans nos permanences des femmes âgées de cinquante à soixante ans, qui ont une carrière derrière elles, des compétences, une motivation. À cet âge-là, il me semble que l’on peut encore entamer une nouvelle carrière.