Monsieur le Premier ministre, c’est un revers supplémentaire que vous avez subi mercredi dernier avec le report sine die de la proposition de loi relative à l’autorité parentale et à l’intérêt de l’enfant (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP), texte que vous nous avez demandé d’examiner en catimini, sans consultation des organisations familiales, ni du Conseil d’État.