Ces réformes sont de nature à satisfaire un besoin d’égalité des parents. Elles sont faites pour les parents, pas pour les enfants.
Afin que les enfants s’épanouissent, il leur faut des parents qui se respectent, qui s’écoutent, qui dialoguent, qui les épargnent et ne les utilisent pas pour régler leurs comptes. Contre tous ceux qui ne veulent pas, la loi ne peut pas grand-chose. Le droit actuel permet de répondre à l’essentiel des besoins des familles.
Monsieur le Premier ministre, abandonnez cette proposition de loi idéologique qui divise, une fois de plus, les Français.