Cette appréciation pragmatique contraindra, d’une certaine manière, la coopération entre la République française et des investisseurs qui veulent intervenir dans les grands secteurs que vous avez cités : la défense, les jeux d’argent – cela date du gouvernement Villepin, M. Breton étant coauteur du décret de l’époque –, la santé, l’énergie, les transports, l’eau – entre autres.