Le ministère n'en aura pas les moyens, à moins de fermer des brigades de gendarmerie en zone rurale pour pouvoir allouer plus de moyens aux zones de sécurité en milieu urbain, ce qui reviendrait, monsieur le ministre, à accepter l'idée d'une sécurité à la carte.
En dehors de la question des zones de sécurité qui ne sont pas budgétées, il convient de reconnaître le maintien global, voire la hausse, des crédits de la mission « Sécurité » en dépit des contraintes budgétaires.