Et je ne laisserai personne remettre en cause ce travail !
Au moment où, avec la garde des sceaux et le ministre délégué chargé des affaires européennes, nous essayons de convaincre nos amis britanniques de ne pas sortir de l'espace judiciaire européen et, notamment, de ne pas revenir sur le mandat d'arrêt européen si précieux dans la lutte contre le terrorisme ou le crime organisé, comment certains peuvent-ils vouloir que la garde des sceaux ou le ministre de l'intérieur français remette en cause cet outil dont nous ne pouvons pas nous passer ? Le mandat d'arrêt européen ne s'applique pas « à la carte »…